Vingt-septième jour – Washington !
La limace s'approcha de moi et me dit très humblement qu'il n'était là qu'en tant que journaliste pour faire un article circonstancié sur ce merveilleux projet de condominium sur Mars et qu'il ne ferait rien, mais absolument rien pour nous contrarier,...
Vingt-sixième jour – ne suivez pas le guide !
Je me trouvais donc sur le point de guider des visiteurs à travers mon petit domaine lunaire et de faire l'article pour deux produits détestables : d'un côté un condominium privé élitiste (et quelle élite!) et milliardaire, et de l'autre la Terre abhorrée...
Vingt-cinquième jour – ILS ARRIVENT !!!
Vingt-quatrième jour – les visiteurs sonnent toujours deux fois
C'est vrai que je n'ai pas très bien dormi après que Ferdinando m'ait révélé ma mission, et que je suis tout tremblant à l'idée de faire quelque chose de travers. D'abord, il m'informa qu'il avait été informé que j'allais être informé, dès mon retour...
Vingt-troisième jour – deux frères et une mission
Après toutes ces émotions, nous fîmes un plantureux dîner en compagnie de Ferdinando, de Carla et de quelques habitants de la Commune Lunienne qui nous exposèrent la vie simple qu'ils menaient sur la Lune. Ils avaient effectivement l'air très reposé,...
Vingt-deuxième jour – la face cachée de la Terre sur la Lune
Vingt-et-unième jour – la Terre au bout du tunnel
Cette fois-ci, je ne mis pas mon mon habit de cosmonaute (je le mets une fois sur deux, pour ne pas trop l'abîmer – je suis très soigneux avec mes habits) et j'ouvris la porte... pour recevoir un caillou sur la tête ! Heureusement, j'avais un casque,...
Vingtième jour – L'Énéide sur la Lune
Donc, pour la deuxième fois, nous avions réussi à nous débarrasser de la limace et de son discours baveux. Nous continuions à remplir le baquet des livres à destination de la Terre, ce qui avait l'air de réjouir tout particulièrement Ferdinando, qui riait...