Dix-neuvième jour – le jugement dernier de la ciboulette

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Notre camarade aliène repartit donc en traînant derrière lui les avions comme des casseroles, me débarrassant à tout jamais de ces ignobles pitoyables dégoûtants abhorrés puants symboles de la connerie humaine et du concours de celui qui a la plus grosse....

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Dix-septième jour – l'espion qui venait du surgelé

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Donc, Carla avait décidé de creuser un tunnel pour que je puisse m'évader de la Lune et retourner sur la Terre. Pour ne pas exacerber plus encore son hyper-émotivité, et parce que j'étais fatigué de danser le tango, je l'encourageai dans ce sens. Il se...

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Seizième jour – La grande évasion

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Évidemment, si vous dites à quelqu'un que vous avez passé Noël sur la Lune dans un carré de fraisiers au beau milieu d'une serre, il ne vous croira pas, mais c'est pourtant ce qui m'est arrivé. Je n'avais pas besoin de cadeau, car Ferdinando m'en avait...

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Treizième jour – un bel arbre de Noël

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j'ai fait des courses, le baquet était bondé, et toujours pas gratuit. Ça doit être pour ça qu'on dit « transport en commun » et non « transport public ». Bon, demain, je continue notre histoire. En attendant, grace à Ferdinando, on a un bel arbre de...

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Douzième jour – un troc en échange de la paix

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Ferdinando revint très vite de sa négociation, qu'il m'expliqua ainsi : d'abord, de nombreuses nations terriennes m'étaient très reconnaissantes que ce soit moi, pour cette fois, qui ait canalisé l'ire des mes agresseurs, parce qu'en général c'était eux...

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Dixième jour – la panne

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Zut, y'a plus d'encre. VOUS POUVEZ LAISSER UN COMMENTAIRE, IL SERA LU ATTENTIVEMENT PAR ANASTASIE, NOTRE FONCTIONNAIRE LA PLUS ZÉLÉE

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Neuvième jour – catastrophe !

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Avec la disparition de la limace, je me sentis plus à l'aise pour offrir à dîner à mes deux compères, que je n'avais pas choisis, certes, mais ça aurait pu être pire. Comme nous en étions au pousse-café, Carla (c'est ainsi, je ne sais pourquoi, que l'on...

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Huitième jour – où la limace saute de joie

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Je vous ai laissés hier parce que quelqu'un toquait à la porte. C'était un représentant en parapluies qui, à ma grande surprise, se mit à pleurer et à se rouler par terre en me suppliant que je lui achète son article. Ce n'était vraiment pas raisonnable,...

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Septième jour – interview-réalité

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En fait, après avoir passé l'aspirateur je décidai d'aller me coucher. Peu m'importait comment Ferdinand allait passer la nuit, il pouvait bien dormir dans la serre, sur le banc, ou retourner dans son baquet, après tout, il devait avoir l'habitude. Ce...

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Sixième jour - Le Comte de Monte Cristo

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Je vous ai conté ma déception, hier, en voyant le baquet vide abandonné près du parterre de rhododendrons, mais je me suis vite remis d'aplomb, tout à ma soif de vengeance. J'étais quand même un peu ennuyé, parce quelqu'un avait bien dû envoyer ce baquet...

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Cinquième jour - une idée formidable!

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Aujourd’hui, alors que j’étais tranquillement assis en train de lire sur le banc que j’avais traîné jusqu’au bord de la Mer de la Tranquillité, j’ai eu le regard attiré par mon petit logement qui se découpait sur le clair de Terre, avec ses fenêtres aux...

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Quatrième jour - description mon pied-à-terre lunaire

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Comme promis, je vais vous décrire mon pied-à-terre lunaire. Je l’appelle pied-à-terre parce que je n’ai pas l’intention de faire de vieux os, ici, sur la lune (sans blague, ce serait la meilleure! L’élastique va servir plus tôt que prévu, c’est moi qui...

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Troisième jour - les raisons de mon «expatriation»

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Hier, je vous ai laissés parce qu’il y avait quelqu’un qui frappait à la porte. En fait, il n’y avait personne, cela m’a beaucoup contrarié, parce que j’ai été obligé de mettre ma tenue de cosmonaute pour ouvrir la porte, c’est très compliqué, ça m’a...

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Deuxième jour - description de «l'élastique»

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Je crois que je me suis levé à 4 heures de l’après-midi. Je n’en suis pas très sûr, parce que j’ai oublié mon réveil dans le baquet de «l’élastique», ou plutôt à l’extérieur, son tic-tac est tellement bruyant que je l’avais accroché à une ficelle et il...

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Premier jour - Mon arrivée

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Enfin! je suis arrivé! j’ai un peu mal aux fesses, on ne peut pas dire que «l’élastique» soit encore très au point. Après 9 jours assis à balancer dans le baquet, je suis bien content d’être là! J’ai fait rapidement le tour du propriétaire, un F4 pas...

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