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Top articles
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Vingt-deuxième jour – la face cachée de la Terre sur la Lune
Carla m'avait donc entraîné dans son tunnel d'évasion et nous avions débouché dans un endroit qui ressemblait furieusement à la Terre, c'est-à-dire à la Terre un peu rêvée quand même. Nous avions devant nous des petites maisons qui m'avaient l'air très...
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Vingt-huitième jour - mais faites-la taire !
Et voilà ! Encore une fois nous avions réussi à nous débarrasser de la limace à bon compte mais, malheureusement, je n'avais réussi à conserver que la moitié du dispositif de transport de l'aliène. Celui-ci pouvait se frictionner à loisir avec sa montre,...
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Cinquième jour - une idée formidable!
Aujourd’hui, alors que j’étais tranquillement assis en train de lire sur le banc que j’avais traîné jusqu’au bord de la Mer de la Tranquillité, j’ai eu le regard attiré par mon petit logement qui se découpait sur le clair de Terre, avec ses fenêtres aux...
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Dix-neuvième jour – le jugement dernier de la ciboulette
Notre camarade aliène repartit donc en traînant derrière lui les avions comme des casseroles, me débarrassant à tout jamais de ces ignobles pitoyables dégoûtants abhorrés puants symboles de la connerie humaine et du concours de celui qui a la plus grosse....
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Dix-septième jour – l'espion qui venait du surgelé
Donc, Carla avait décidé de creuser un tunnel pour que je puisse m'évader de la Lune et retourner sur la Terre. Pour ne pas exacerber plus encore son hyper-émotivité, et parce que j'étais fatigué de danser le tango, je l'encourageai dans ce sens. Il se...
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Quatrième jour - description mon pied-à-terre lunaire
Comme promis, je vais vous décrire mon pied-à-terre lunaire. Je l’appelle pied-à-terre parce que je n’ai pas l’intention de faire de vieux os, ici, sur la lune (sans blague, ce serait la meilleure! L’élastique va servir plus tôt que prévu, c’est moi qui...
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Onzième jour – où Ferdinand révèle sa véritable identité
Après une petite panne technique, je reprends mon journal chéri pour vous raconter la suite du dîner bien arrosé de l'autre jour. Comme je l'ai écrit avant-hier, après la nouvelle de la terrible menace de l'anéantissement de mon home lunaire, je suis...
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Neuvième jour – catastrophe !
Avec la disparition de la limace, je me sentis plus à l'aise pour offrir à dîner à mes deux compères, que je n'avais pas choisis, certes, mais ça aurait pu être pire. Comme nous en étions au pousse-café, Carla (c'est ainsi, je ne sais pourquoi, que l'on...
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Septième jour – interview-réalité
En fait, après avoir passé l'aspirateur je décidai d'aller me coucher. Peu m'importait comment Ferdinand allait passer la nuit, il pouvait bien dormir dans la serre, sur le banc, ou retourner dans son baquet, après tout, il devait avoir l'habitude. Ce...
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Huitième jour – où la limace saute de joie
Je vous ai laissés hier parce que quelqu'un toquait à la porte. C'était un représentant en parapluies qui, à ma grande surprise, se mit à pleurer et à se rouler par terre en me suppliant que je lui achète son article. Ce n'était vraiment pas raisonnable,...
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Sixième jour - Le Comte de Monte Cristo
Je vous ai conté ma déception, hier, en voyant le baquet vide abandonné près du parterre de rhododendrons, mais je me suis vite remis d'aplomb, tout à ma soif de vengeance. J'étais quand même un peu ennuyé, parce quelqu'un avait bien dû envoyer ce baquet...
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Troisième jour - les raisons de mon «expatriation»
Hier, je vous ai laissés parce qu’il y avait quelqu’un qui frappait à la porte. En fait, il n’y avait personne, cela m’a beaucoup contrarié, parce que j’ai été obligé de mettre ma tenue de cosmonaute pour ouvrir la porte, c’est très compliqué, ça m’a...
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Trente-huitième jour - enfin de bonnes nouvelles de la Terre!
Dommage que nous soyons le 1er avril... VOUS POUVEZ LAISSER UN COMMENTAIRE, IL SERA LU ATTENTIVEMENT PAR ANASTASIE, NOTRE FONCTIONNAIRE LA PLUS ZÉLÉE
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Trente-deuxième jour – quand l'ours y met un os
Nous nous mîmes donc en chasse de la banane empaillée à l'intérieur de la Commune Lunienne et aussi ailleurs sur la Lune, parce qu'il pouvait y avoir des cachettes cachées par des fourbes aux ordres de la Grande Puissance Nortuaire. Et puis, petit à petit,...
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Trente-cinquième jour - le bal des serpillières
Donc, j'étais maintenant flanqué d'une vache bien en chair nommée Angela que, par camaraderie pour une grande puissance plutôt opposée aux délires guerriers de la Grande Puissance Nortuaire, je devais traiter le mieux du monde. En échange, elle me donnerait...
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Cinquante-quatrième jour – Le taulier!
Nous avons été très occupés ces deux derniers jours à préparer la Lune pour accueillir le propriétaire de la Terre qui doit revenir chercher son bien au Mont-de-piété de la Mer de la Tranquillité. Parce que après tout, nous sommes l'avant-poste de la...
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Quarante-quatrième jour – tout ça pour du menu crottin
Le pouf sur lequel je m'étais assis n'était pas du tout confortable. Mais la situation des deux papes (parce qu'il y en avait deux : le neuf et celui d'occasion qui ne sort qu'à de rares occasions), l'était encore moins. En effet, était apparu entre eux...
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Vingt-neuvième jour – Que faire ?
Maintenant qu'on avait trouvé notre camarade infiltré à exfiltrer vers la Commune Lunienne, il était temps de se débarrasser du troupeau d'investiboursicorruptionnateurs et de leurs femmes quasi-muettes qui batifolaient dans les fourrés. D'ailleurs, la...
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Trente-et-unième jour - la piste de la banane empaillée
Grâce au système de transport de Blingue-Blingue, qui avait envoyé le président de la Grande Puissance Nortuaire s'initier à la cynophilie à Pyongyang, n ous avions donc, encore une fois, réussi à échapper à l'ire de ce dernier, à son fracas vengeur,...
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Quarante-troisième jour – tandis qu'on canonise
Comme je vous l'ai dit, pendant que j'écrivais ce journal, quelqu'un toqua à la porte. Évidemment, un autre que moi aurait pu aller ouvrir, puisque je n'habitais plus seul, ayant la vache Angela en pension depuis quelques jours (voir ICI) et que notre...
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Quarante-septième jour – Blingue-blingue, le retour
Comme vous vous en souvenez sûrement, ravissant lecteur, le choix d'une nouvelle télé parmi tous les appareils apportés par Ma Tante (surnom nommé au dragon antipapiste tenancier du Mont-de-piété du fond de la Mer de la Tranquillité voir ICI) avait été...
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Cinquantième jour - La Terre au clou?
Ferdinando, le très efficace agent de la Petite île Formidable des Caraïbes, entre deux séjours à la Commune Lunienne (qui prend de la bouteille, forcément - la Commune, pas Ferdinando – puisque tout le monde en a raz le bol du gros gâchis capitaliste...
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Cinquante-et-unième jour – Opération maquillage ?
Ma Tante, donc, notre voisin le dragon anti-papiste tenancier du Mont-de-piété de la Mer de la Tranquillité, dans un moment d'épanchement, m'a livré hier une information que j'ai peine à croire. Il faut dire qu'il en était à son cinquième suze-cassis...
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Cinquante-sixième jour – KdKLQS ! KdKLQS ! KdKLQS !
Hier, après le départ du président de l'ectoplasme mineur satellite (ouf!), j'ai eu un coup de cafard et j'ai envoyé promener tout le monde. C'est-à-dire pas trop loin, et pas trop violemment non plus, parce qu'on a vu les effets que ça peut avoir (voir...
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Cinquante-cinquième jour – le retour de manivelle
Comme vous vous en souvenez, tout nus lecteurs (pour ceux qui sont sur la plage), avant-hier Ma Tante, et Carla, et Ferdinando me regardaient fixement pendant que Carla Bis, ou Carla l'Ancien (comme on dit Pline l'Ancien, ou Théodose l'Ancien, ou Tarquin...
